We agree with Kratina et al. (2023) that the problem of psychological suffering at the end of life deserves attention from a policy standpoint and that psychedelic therapies show promise in this clinical context. However, we argue the following in this rejoinder: (1) disproportionate attention to psychedelics may overstate the current evidence base, potentially diverting resources away from existing evidence-based programs; (2) a more pressing policy priority related to this public health problem is to address population-level inequities in accessing high-quality, early and holistic palliative care, including psychosocial care; and (3) discussions about expanded access to psychedelics must also foreground equity issues.
Nous convenons avec Kratina et al. (2023) que le problème de la souffrance psychologique en fin de vie mérite une attention politique et que les thérapies psychédéliques sont prometteuses dans ce contexte clinique. Cependant, nous soutenons ce qui suit dans la présente réplique : (1) une attention disproportionnée aux thérapies psychédéliques pourrait exagérer le fondement des données actuelles, en détournant les ressources des programmes existants qui sont fondés sur des données probantes; (2) une priorité politique plus urgente liée à ce problème de santé publique est de remédier aux inégalités des populations en matière d'accès à des soins palliatifs précoces et holistiques de haute qualité, notamment les soins psychosociaux et (3) les discussions sur l'élargissement de l'accès aux thérapies psychédéliques doivent aussi mettre de l'avant le question de l'équité.
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Keywords:access to psychedelics; psychological suffering; end of life